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Le château de Loupiac, dans la vallée de l’Aveyron,
s’élève sur un tertre dominant à droite la rivière et la grande route de
Laissac à Sévérac. L'édifice est un carré oblong, flanqué de quatre tours
rondes, autrefois couronné d’un chemin de ronde soutenu par des mâchicoulis
dont les traces paraissent encore très nettement. Tous les murs sont très
forts; au troisième étage entièrement voûté ils ont 1,50 mètre d’épaisseur
et une vaste pièce en occupe la plus grande partie. Un escalier en spirale
extrêmement doux dessert les trois étages, donnant à chacun d’eux sur une
pièce à voûte ogivale sur laquelle s’ouvrent les différents appartements. De
rares et étroites ouvertures en éclairent les différents appartements,
conservées dans la bonne forme, mais agrandies de nos jours. Le château
était environné de fossés larges et profonds dont les traces sont encore
apparentes; il y avait pont-levis, cour et avant-cour. Près du pont-levis
deux guérites rondes, crénelées et percées de meurtrières marquent
l’emplacement du corps de garde. Les granges et les bâtiments
d’exploitation, contemporains du château et compris dans son système de
défense, sont situés à l'est et au nord de l’avant-cour. Tout autour du
château s’étendait un vaste parc, ceint de fortes murailles avec portail
crénelé. De ce parc disparu il ne reste que quelques pans de mur et la
grande route traverse le terrain qu'occupait une magnifique futaie. Le
château actuel fut bâti en 1443 par Guy de La Panouse, évêque de Mende, mais
cette construction n’aurait été qu'une reconstruction car d’anciens titres
attestent l'existence à Loupiac, bien auparavant, d’un autre manoir féodal
moins important dont les fondements subsistent en partie dans la plaine
ouest attenante au château actuel, mais postérieur lui-même au XIIIe siècle.
En effet il n’est question que du "mas" non du repaire ou château de Loupiac
dans deux actes des archives départementales du Tarn-et-Garonne concernant
Loupiac.
Le premier en date du 28 septembre 1286 est un compromis entre Guy V de
Sévérac et Motet de La Panouse au sujet des baux, dons, herbages et clapiers
à lapins du "mas de Loupiac". Le second consiste en une sentence arbitrale
rendue le 10 novembre 1287 sur la même matière. Motet de La Panouse
reconnaît tenir en fief honoré de Guy V de Sévérac les mas de Loupiac et du
Villaret, sis paroisse de La Panouse et de Saint-Grégoire; en retour, Motet
de La Panouse jouira des herbages du mas de Loupiac et pourra y mettre
banniers, il aura droit de faire des clapiers à volonté, etc. L’arbitre
choisi était Alzias de Sévérac, abbé du Monastère de Castres. Les La Panouse
avaient dû s’installer à Loupiac en quittant leur résidence primitive du
village de La Panouse où ils possédaient un château dont la cour allait
aboutir au cimetière contigu à l’église; en effet, en 1260 Motet II de La
Panouse avait vendu à Guy IV de Sévérac "la juridiction et le château de La
Panouse et tout ce qu’il possédait dans le mandement de ce lieu ainsi que
les hommes et les femmes qui y habitaient". Par suite de cette vente, les La
Panouse n’avaient plus à Loupiac, dépendance du mandement de La Panouse,
aucun droit de justice et par suite de seigneurie; mais la haute situation
de ses représentants, l’amitié, puis la parenté qui liait les chefs de
famille à leur suzerain le puissant baron de Sévérac lui valurent de rentrer
en possession tout au moins d’une partie des droits seigneuriaux sur Loupiac.
En effet, le 20 août 1420, Amalric de Sévérac, qui devait deux ans plus tard
recevoir le bâton de Maréchal de France, dernier représentant mâle de cette
lignée, fit "donation et concession à son cousin Jean II de La Panouse de la
justice basse mixte et impère et du droit de connaître des causes civiles
dans le lieu et repaire de Loupiac et ses appartenances, se réservant la
mère et impère et haute juridiction et la connaissance des causes d’appel
pour lui et ses successeurs".
Dès lors Jean de La Panouse et ses descendants purent se qualifier seigneurs
de Loupiac et en effet dans un état des vassaux du comte d’Armagnac et de
Rodez en 1462, le seigneur de Loupiac figure parmi les nobles hommagers du
comte alors baron de Sévérac. Mais les seigneurs de Sévérac ne paraissent
pas avoir vu sans inquiétude s’élever si près, et presque à l’ombre de leur
résidence, le manoir fortifié d’une maison aussi importante que les La
Panouse. Ce même sentiment qui dans le XIIIe siècle les avait porté à réunir
à leur domaine l’entière châtellenie de La Panouse, leur fit contester la
validité de la concession pourtant secondaire , puisqu’elle laissait Loupiac
sous la suzeraineté de Sévérac et les divers personnages qui se disputèrent
et possédèrent l’héritage du maréchal de Sévérac: les comtes Jean IV et Jean
V d'Armagnac, Antoine de Chabanes comte de Dammartin, Jean II d’Arpajon
baron de Sévérac, intentèrent et poursuivirent devant le Parlement de
Toulouse un procès pour faire casser l’acte de donation de la justice basse
et obtenir de faire raser les tours et remparts de Loupiac. Ce procès passa
par bien des phases, conciliantes ou violentes, avant la sentence
définitive. Ainsi le 6 janvier 1512 Jean de La Panouse seigneur de Loupiac
et Charles de La Panouse seigneur de Marmiesse ratifient un accord passé
entre puissant seigneur Jean d’Arpajon, chevalier, seigneur d’Arpajon baron
de Sévérac et révérend père Messire Léon de La Panouse, dit de Loupiac,
protonotaire du Saint-Siège apostolique, chanoine de Mende, fils du dit
Jean, le 3 janvier 1512 devant Maître Jean de Mousé notaire royal, au sujet
de divers désaccords et procès régnants entre le seigneur de Sévérac et
celui de Loupiac. Un arrêt du 26 août 1557 rendu après bien des poursuites
et chicanes, maintint la maison de La Panouse dans la possession de la
justice basse de Loupiac et sauva les tours et remparts du manoir de Loupiac.
Peu après ce succès judiciaire, la branche aînée des La Panouse, seigneurs
de Loupiac, s’éteignait avec "magnifique et puissant seigneur" Jean de La
Panouse qui de son mariage avec Antoinette de Montboissier ne laissait pas
d'enfants. Par son testament du 29 septembre 1548 il avait disposé de la
moitié de ses biens en faveur de Jean de La Panouse, seigneur de Viescamp et
de Pers, en Auvergne, son cousin, dont le fils Jean, seigneur de Viescamp,
plaidait en cette qualité d’héritier du seigneur de Loupiac contre la veuve
de celui-ci, Antoinette de Montboissier et messire François de Solages baron
de Tholet, neveu et donataire universel de la dite dame, et l’autre moitié à
sa sœur, Jeanne de La Panouse, mariée à Jourdan de Pouzols, seigneur de
Fabrègues. De ce mariage vinrent deux enfants: un fils Antoine de Pouzols,
qualifié seigneur des Incoustelles dans une transaction qu’il passa avec son
père au sujet de la succession de Jeanne de La Panouse sa mère et une fille
Louise de Pouzols, mariée à noble Guy de Gouzel, seigneur de Ségur et
Marmiesse en Haute Auvergne, qui par suite du décès de son frère ou
d'arrangements de famille devint possesseur de Loupiac. Mais les La Panouse
de Viescamp conservaient sur Loupiac des reprises considérables dont ils
exigeaient le paiement de leurs cousins de Gouzel et ces demandes devinrent
la cause dominante de l’aliénation de Loupiac par les héritiers de Jeanne de
La Panouse, désireux avant tout de conserver leur belle seigneurie de
Marmiesse en Haute Auvergne , estimée par eux d’une valeur de 80.000 livres,
que le seigneur de Viescamp menaçait de faire décréter pour obtenir le
remboursement de sa créance. Il semble que cette fois encore les Sévérac
aient voulu saisir l’occasion de joindre Loupiac à leurs possessions
personnelles car nous trouvons aux archives départementales d'abord une
promesse de vente de la terre et seigneurie de Loupiac faite en février 1576
à Guy de Bonafos seigneur de Roquelaure par noble Guy de Gouzel, seigneur de
Ségur et de Marmiesse et Louise de Pouzol mariés, suivie d'une transaction à
ce sujet.
Ensuite en 1576 une vente du château et de tout ce qui dépend de la maison
de Loupiac près Sévérac par le seigneur de Roquelaure à Françoise de Montai,
femme de Charles d’Arpajon et Sévérac, baron des dits lieux. Loupiac ne
passa pourtant cette fois encore aux mains de son puissant suzerain,
peut-être la mort de Charles d’Arpajon survenue trois ans plus tard
amena-t-elle la rétrocession de Loupiac à son premier acquéreur, Guy de
Roquelaure. Quelle qu'en fut la cause, le manoir de La Panouse resta aux
mains des Roquelaure. Le seigneur de Roquelaure avait acquis la place et
seigneurie de Loupiac de Jeanne de La Panouse, dame de Pouzols et de
Fabrègues et de ses fille et gendre, Louise de Pouzols et Guy de Gouzel
seigneur de Ségur (en Auvergne) le 18 février 1576 par un acte sous seing
privé qui devait être transformé en un acte public avant le 1er mai de la
même année après une expertise de quatre personnes nommées par les parties,
une cinquième devant les partager en cas de désaccord. Ce délai pouvait se
rapporter au désir des Sévérac de faire cette acquisition, tentée et non
réalisée. Le prix avait été fixé à 26.000 livres dont 2.000 devaient être
employées à dégager des rentes dépendant de Loupiac et engagées à M. Solanet,
de Buzeins. Le contrat public n'avait pas été signé plusieurs années après
et le paiement restait en suspens, quoique dans le contrat privé intervenu,
M. de Roquelaure se fût engagé à supporter tous les dépens s’il ne payait
pas à la date fixée. Mais la guerre civile avait bouleversé toute la région,
atteint spécialement Loupiac et l’acquéreur ayant fait diverses avances et
dépenses s'élevant à 7.000 livres, tant pour venir passer le contrat que
pour la garde du château, la culture des terres après qu’il eut obtenu pour
4.500 livres l’évacuation du château par le capitaine Saint-Hippolyte.
Les vendeurs contestaient ces payements et avances et réclamaient le
paiement du prix principal, intérêts et remboursement des dommages causés
par le non paiement du prix à la date fixée, dommages qu’ils n'estimaient
pas moins de 20.000 livres parce que à la suite de ce non paiement. M. de La
Panouse, seigneur de Viescamp, las d’attendre, avait fait décréter la terre
de Marmiesse. A propos du versement fait au capitaine Saint-H ippolyte pour
l'évacuation de Loupiac, le seigneur et dame de Gouzel soutenaient que 4.000
livres avaient été avancées par les seigneurs de Tholet et de Trelans et à
eux remboursées: 2.000 par les États et 2.000 par les paysans de la terre
comme il ressortait de l’assemblée des Etats tenue à Villefranche le 31 mars
1576. De même ils soutenaient que le seigneur de Roquelaure n’avait rien
dépensé pour le paiement de la garnison de 6 soldats, présents du 1er avril
au 15 juin et soldés à raison de 10 livres par mois par les soins des Etats.
M. de Roquelaure prétendait aussi que certains droits compris dans la vente
avaient été aliénés à M. de Viescamp par acte du 17 mai 1564 pour le prix de
3.500 livres, mais les Gouzel remettaient une quittance de remboursement de
ces 3.500 livres en date du 19 avril 1572. Enfin, Jeanne de La Panouse, dame
de Pouzol, soutenait, qu’appartenant à la religion réformée; M. de
Roquelaure disant que l'acte de vente définitif ne pouvait être
immédiatement régularisé, elle devait être remise en possession de Loupiac
en vertu de l’édit de Pacification. Le procès de Loupiac finit néanmoins par
une confirmation de la vente pour le prix de 8.666 écris sols, valant 60
sols la pièce, sur laquelle somme 666 écris 2/3 devaient être affectés au
rachat des rentes de Buzeins passées aux mains de M. Solanet; 7.000 écris
devaient paver M. de La Panouse de Viescamp de tous ses droits et
prétentions sur Loupiac, le surplus affecté au rachat des rentes aliénées et
le solde, s’il y en avait un, payé aux vendeurs.
En possession de la place de Loupiac, Guyon de Roquelaure donna en ferme à
son cousin, Alexandre de Roquelaure, toute la terre et seigneurie y compris
les vignes sises près de Monjaux, moulins, rentes, pour une durée de six
années au prix de 233 écris 1 3 sol à 60 sols par acte du 15 septembre 1594.
Ce bail reflète trop exactement dans plusieurs de ces articles les dangers
de ces temps troublés pour que nous n'en donnions pas les clauses les plus
curieuses. "Pacte aussy entre eulx convenu, arresté, promis et juré que où
et quand pendant cest arrantement adveidroict trouble ou guerre, par le
moyen duquel le dit sieur de Roquelaure feust faict prisonnier et admené par
ses ennemis audevant ledit chasteau et que par iceulx il feust contrainct de
promestre et bailler ledit chasteau à ses ennemys au moyen de sondit
emprisonnement, en ce cas ledict sieur Alexandre ne sera tenu de le rendre
et bailler ores qu’il allast de la vye dudict sieur de Roquelaure, auquel
cas il luy pardonne icelle, aux fins d’esviter la prinse de sa dicte maison
et place de Loupiac que pourraict comporter la toutalle ruyne de beaucoup de
personnes et terres circonvoisines comme autre foys par cy devant est adveny.
Et au contraire ou ledict sieur Alexandre seroict faict prisonnier par
aulcuns de ses ennemys ou dudict sieur de Roquelaure et qu’au moyen de son
emprisonnement ses ennemys voulussent aveyr ceste place et à ces fins l’admenassent
au devant icelle, en cas veult et entand que les soldat, et autres
personnatges qui y seront ne randent poinct ladicte place aulx ennemys quoi
qu'ils en vouleict dire, que plustôct ils permectent la mort d’icelluy
auquel comme dessus, il leur pardonne sa mort ou autre infortune que luy en
pourraict advenir pour ne voulloir randre ladicte place et de quoy il
promect et jure de ne les rechercher à l’advenir ce que les soldats et
autres personnatges qui y seront mis de la part dudict sieur Alexandre
seront tenus de promectre et jurer ez mains du dit sieur de Roquelaure".
Ce long article du bail peut se résumer en quelques lignes: Si pendant les
troubles de la guerre civile M. de Roquelaure, seigneur de Loupiac, fait
prisonnier par ses ennemis est amené devant la place de Loupiac et forcé par
eux à demander la livraison du château, Alexandre de Roquelaure, fermier de
la place, ne devra la rendre que si la vie du seigneur de Loupiac est en
danger à la suite d'un refus, attendu les suites graves de cette reddition
pour les habitants du voisinage comme on le sait par l’exemple d’un passé
récent. Si, au contraire, Alexandre de Roquelaure est, lui aussi, capturé
par ses ennemis, ou ceux du seigneur de Loupiac, et amené devant Loupiac
pour demander à la garnison de livrer le château, les soldats l’occupant ne
devaient la livrer dans aucun cas, même si ce refus devait coûter la vie à
Alexandre de Roquelaure, qui déclare par avance accepter la mort et assurer
que la garnison ne sera en rien recherchée mais devra, au contraire, par
serment entre les mains du seigneur, s’engager à observer cette clause.
Observons que ce bail à ferme était négocié entre gentilshommes, tous deux
hommes de guerre, explication plausible d’une cause aussi rigoureuse, unique
à notre connaissance dans les baux de cette période troublée venus jusqu’à
nous. Alexandre de Roquelaure était le frère bâtard de Guérin de Roquelaure
et fut seigneur de la Chassagne et de Buzareingues où il fonda un rameau,
fondu au XVIIe siècle, dans la famille d’Alichoux. Un inventaire complète ce
bail; la reproduction intégrale serait sans intérêt, mais on doit signaler
pour les objets inventoriés: 2 mousquets, 1 mousqueton, 10 pièces de
tapisseries; 3 livres de reconnaissances féodales, dont 1 pour Lapanouse et
1 pour Vimenet; un petit livre de lauzimes. Loupiac passa, en 1608, avec
toute l’hérédité (nom compris) des Roquelaure, à la maison de Bessuéjouls.
Enfin, le 16 mars 1693, Jean-François marquis de Bessuéjouls-Roquelaure
vendit pour le prix de 36.500 livres à Gély Grandsaigne , bourgeois de
Sévérac, ancien receveur des revenus des d’Arpajon, qui fit cette
acquisition au nom de son fils Etienne de Grandsaigne, conseiller secrétaire
du Roi, Maison et Couronne de France et anobli par cette charge, la terre,
seigneurie et domaine de Loupiac, consistant en un château, maison, granges,
étables, jardins, prés, champs, garenne, moulin de blé, argent, gelines,
champarts, droits de lods, justice moyenne et basse et autres droits
seigneuriaux sur les villages de La Panouse , les Vialettes, Belleze,
Lagarde, Lescure, la Tribale, Tantayrou, le Vilaret, Bessodes-Viel et Sourd,
Saint-Grégoire, Berberal, Courry et autres avec les dépendances, droits et
banalité du four de La Panouse, les cens de vin et autres droits
seigneuriaux sur les lieux de Compeyre et de Peyrelade, la rente de 14
setiers de seigle sur le village des Lavadous, les bords des Lavadous, les
bords de Saint-Privat ainsi que l’inventaire des meubles, outils, cabaux,
blé et autres effets du dit domaine et château; le tout noble et quitte de
toute charge, excepté l’hommage dû au seigneur de Sévérac. Une somme de 10
livres à payer à la communauté de La Panouse pour les terres roturières et
et une rente de deux cartes de blé. Par le même acte, M. de
Bessuéjouls-Roquelaure cède au sieur Gély Grandsaigne: les livres terriers,
hommages, reconnaissances, titres et généralement tous les actes nécessaires
pour la conservation des droits de la dite terre; le patronat de la chapelle
du château de Loupiac et celle de Saint-Fabien et Saint-Sébastien dans
l’église de La Panouse et de deux autres chapelles desserviables dans la
cathédrale de Mende. Le même Etienne de Grandsaigne acheta, de plus, en
1710, de Catherine-Françoise d’Arpajon, comtesse de La Rochefoucauld-Roucy,
la vicomté d’Hauterive en Gévaudan, démembrée de l’ancien duché d’Arpajon et
payée 120.000 livres. La famille de Grandsaigne d’Hauterive possède et
habite encore Loupiac où son propriétaire actuel, le vicomte Gabriel d’Hauterive,
a fait exécuter d’importantes et heureuses réparations. (1)
Éléments protégés MH : le château de Loupiac en totalité : inscription par
arrêté du 13 février 1928. (2)
château de Loupiac 12150
Lapanouse-de-Sévérac, privé ne se visite pas, visible de l'extérieur.
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