|
La seigneurie de Maisons était depuis deux
siècles déjà dans la famille Longueil, lorsque René de Longueil, alors
président à mortier au parlement de Paris, conçut, en 1642, le projet de
faire bâtir le château dont nous allons nous occuper ici, et dont la
construction ne fut terminée qu'après neuf années de longs travaux, en 1651.
Les Longueil sont originaires de Normandie et prennent leur nom du bourg,
château, seigneurie et châtellenie de Longueil, près Dieppe. Ils portent
d'azur à trois roses d'argent, au chef d'or chargé de trois roses de gueule.
Dans sa Généalogie des présidents, Blanchard avance que les anciens
seigneurs de Longueil avaient toujours fait profession de l'épée, jusqu'à
Jean, deuxième du nom, qui, en 1418, sous Charles VI, fut établi troisième
président au parlement de Paris. Le premier des Longueil dont il trouve
trace s'appelait Adam. En 1066, il accompagne Guillaume, à la conquête de
l'Angleterre, et se signale à la bataille de Londres, en qualité de
chevalier banneret. Après ce héros, et jusqu'au XIIIe siècle, le même auteur
avoue que la filiation qu'il donne est incertaine; mais, à la date de 1269,
il affirme un Guillaume de Longueil qui aurait été chambellan de Charles de
France, comte d'Anjou, roi de Sicile, et à compter duquel il n'y a plus rien
d'obscur pour lui, dans la descendance des Longueil. C'est Jean de Longueil
qui, le premier de la famille, porta le titre de seigneur de Maisons; et
nous savons qu'il l'acquit des seigneurs de Gaucourt, vers 1390, ce qui
justifie ce que nous avons avancé, qu'en 1642 la possession de cette
seigneurie, chez les Longueil, remontait à deux siècles déjà. Le nouveau
seigneur de Maisons à cette époque était un homme considérable et possesseur
de grands biens. Il avait eu les terres de Longueil, Varangeville,
Offrainville et la Rivière de la succession de ses ancêtres, et du chef de
sa femme celle du Ranchet. Nous rapportons le nom de ces terres, parce
qu'elles constituèrent par la suite, des titres de seigneuries aux branches
collatérales, au nombre de sept, de la famille, et leur servirent de nom.
Ce Jean de Longueil, le premier des siens aussi, vint habiter Paris; il
commença le renom des Longueil dans les parlements, ou, comme le dit son
panégyriste, "conjoignit la noblesse d'armes qu'il possédoit d'extraction,
avec celle de la justice qu'il acquit par ses mérites". Il fut conseiller au
Parlement en 1399, et en 1418 président, "dont il fit la fonction avec
honneur pendant un temps plein de calamités et de guerres civiles". C'était
alors que la France était déchirée par les factions des Armagnac et des
Bourguignons, qui se livraient bataille au cœur même de Paris. Il mourut en
1430, le 21 mars, laissant l'exemple d'une belle vie de magistrat à ses fils
qui le suivirent en parvenant, les uns aux dignités de leur ordre, les
autres en devenant de savants légistes, si l'on en croit une vie de
Christophe Longueil en latin, "vita Christophori Loogolii, qui obiit anno
1522", mentionnée dans la bibliothèque du père Lelong comme étant au devant
des ouvrages de Longueil, et attribuée, suivant le même auteur, au cardinal
Polus. Mais, jusqu'au XVIIe siècle, nous n'avons pas à nous occuper des
Longueil, qui héritèrent de la terre de Maisons, et l'agrandirent
progressivement, ainsi qu'en font foi de très vieux titres de propriété
déposés aux archives de la couronne. Un seul fait, relatif au Jean Longueil
dont nous venons de parler, doit être relevé. Par le moyen de son alliance
avec Jeanne Bouju, fille de Jean ou Jacques Bouju, sieur du Banchet,
conseiller au Parlement, et de Gilette de Chanteprime, une chapelle de
l'église des Cordeliers de Paris entra dans la maison de Longueil et lui
servit de lieu de sépulture. Le président y fut enterré. Après la mort de
René de Longueil, qui arriva en 1677, le château eut, de père en fils, pour
propriétaires Jean de Longueil; Claude de Longueil; Jean-René de Longueil,
en qui s'éteignit la descendance mâle de la famille. Cette maison appartint
ensuite au marquis de Soyecourt; au comte d'Artois, qui l'acheta en 1777, au
sieur Lanchère à la Révolution, puis elle passa au duc de Montebello sous
l'Empire et à M. Laffitte sous la Restauration. Elle était dans les mains de
M. Thomas, de Colmar, qui l'acquit en 1849 des héritiers de M. Laffitte.
Trois avenues en croix conduisent au château; l'une lui est perpendiculaire
et lui sert de magnifique perspective; elle est percée dans des massifs
profonds et se dirige vers la forêt de Saint-Germain. Les deux autres se
poursuivent en ligne droite des deux côtés du rond-point de la grille
d'honneur, et parallèlement au château. Une grille se présente au point où
la route de Paris coupe l'avenue. Deux corps de bâtiment, qui jadis
servaient de maisons de garde, sont posés de chaque côté. On y reconnaît la
solide architecture du temps. La grille, par deux ouvertures, de droite et
de gauche, laisse entrer les passants; car actuellement cette belle allée, à
partir de là, appartient à ce qu'on appelle la Compagnie du parc de Maisons.
Elle l'a réservée pour servir de voie de communication aux villas de la
colonie fondée par M. Laffitte dans le vaste parc du château. Le milieu de
l'avenue se dessine en tapis vert, bordé de deux chemins. Mais voici le
rond-point des trois avenues, voici la grille d'honneur, voici le château.
Il faut l'avouer, après cette villégiature bourgeoise taillée dans la haute
futaie d'un domaine princier, l'aspect du château a quelque chose de
saisissant. Deux gros pavillons, ornés de corps de refend et de colonnes
doriques, accompagnent la grille et supportent des groupes d'enfants. Ces
pavillons fermaient autrefois les deux avant-cours, à présent remplacées par
un parterre de verdure bordé de deux allées de marronniers, qui s'étend
jusque devant le château. Celui-ci découpe ses purs profils sur le ciel
même. Le paysage l'accompagne, mais il le domine. C'est la coquetterie des
grandes beautés, qui, belles de leur nudité, comme les marbres antiques,
dédaignent les artifices du voile et de la draperie. Une façade qui présente
les ordres dorique et ionique surmontés d'une attique; deux pavillons carrés
qui en occupent les extrémités et qui forment des corps avancés, au milieu
desquels s'élève, à la hauteur de l'entablement dorique, deux autres corps
de logis, servant de terrasses, voilà la cour d'honneur.
On parvient aujourd'hui de plain-pied à cette cour d'honneur, et sans que
rien la sépare du parterre et des avenues. Dans le principe, un fossé, qui
faisait le tour du château, n'y laissait arriver que par un pont-levis. Ce
fossé, avec revêtement de pierre et balustrade découpée, fut comblé de ce
côté. On le regrette en appréciant l'élégance qu'il donne au château sur les
trois autres faces où il a été conservé. Le détail de cette première façade
est très gracieux. Comme on l'a vu, son architecture se compose de deux
ordres superposés; le premier, qui règne sur tout le pourtour, est dorique;
le second est ionique, orné de quatre vases et surmonté de l'attique. Les
fenêtres encadrées montrent dans leurs frontons des ornements dont le choix
n'est pas moins admirable que la justesse des proportions de toutes les
lignes de l'édifice; ce sont, pour la plupart, des aigles ou des femmes, en
regard, qui se terminent, à la manière des sphinx d'Égypte, en corps
allongés de quadrupèdes, lions ou chiens. Sur les côtés de la cour, Mansart
avait dessiné des quinconces avec un bassin dans le milieu. L'un d'eux était
terminé par une orangerie. Orangerie, bassins et quinconces n'existent plus.
La façade régnante sur les jardins ne diffère de la première qu'en ce que le
milieu forme un double avant-corps, et que, par les deux pavillons, on passe
sur une terrasse soutenue de colonnes doriques. Ces colonnes ont cela de
remarquable qu'elles sont d'un seul morceau et qu'elles rappellent, pour le
grain et la couleur, la pierre des monuments antiques. Mansart, au reste,
soigneux du choix de ses matériaux, avait dédaigné la pierre trop molle des
environs de Maisons, et avait fait venir, par eau, celle qu'il employa, des
carrières de Creil.
Si nous pénétrons à l'intérieur par l'entrée de la cour, le vestibule
s'ouvre à nous, tenant toute la largeur du bâtiment et ressortant par une
porte vis-à-vis, sur l'autre façade. Il est décoré de colonnes et de
pilastres doriques, également d'un seul morceau; leurs cannelures, séparées
par des listeaux, leur donnent quelque ressemblance avec les colonnes des
Tuileries, du côté du jardin. Les corniches supportent des figures d'aigle
aux encoignures et quatre lunettes ornées de bas reliefs. Aux quatre angles
s'élèvent, sur des piédestaux ornés, de jolis groupes d'enfants. C'était
dans cette première pièce qu'on admirait deux grilles en fer poli, deux
chefs-d'œuvre de serrurerie qui font aujourd'hui partie des richesses du
Louvre. La plus remarquable ferme l'entrée de la galerie d'Apollon; l'autre
est placée dans le pavillon de l'Horloge. Leur prix donnerait au besoin
l'idée de leur travail. Un manuscrit du temps rapporte qu'elles ont coûté
quarante mille écus. Sur la gauche, nous entrons dans un premier salon qui
devait autrefois passer pour l'antichambre d'un second qui vient à la suite.
Ces deux pièces n'ont de remarquable que leurs grandes proportions. Le
second salon, occupant l'angle du bâtiment, jouit, par deux fenêtres percées
sur chaque côté de l'équerre, d'une vue panoramique. Sa cheminée monumentale
est surmontée d'un Triomphe de Condé, bas-relief en marbre qui ne manque pas
d'une certaine valeur. Sur la droite du vestibule se trouvent aussi deux
pièces auxquelles on parvient en passant auprès de l'escalier. Ce sont la
petite et la grande salle à manger. Mais nous n'en dirons rien, pour revenir
plus vite à l'escalier. Cet escalier est une merveille d'architecture, le
bijou du château. Quelle simplicité dans les lignes et dans l'ornementation.
Le voici donc tel qu'il est dans sa cage carrée, et recevant son plus beau
jour d'en haut, par un lanternon. Ses degrés sont de pierre de liais; sa
rampe est en pierre découpée; il se brise en quatre paliers et monte
lentement le long des quatre murailles de sa cage; quatre murs nus, mais
aurait dit de Musset; blancs de leur blancheur de pierre et beaux de la
simple beauté de leur surface polie, jusqu'à la hauteur du premier étage.
Seulement, à cette hauteur, une ligne droite, une plinthe si l'on veut, file
le long des murailles et marque une large corniche sur laquelle jouent
quatre groupes d'enfants; c'est tout. Mais ces enfants ainsi posés au milieu
de chaque côté acquièrent une telle importance, que l'œil, charmé par le
contraste, y revient toujours et ne se lasse pas d'admirer leur grâce très
réelle. Ce ne sont point en effet de ces amours trop bien appris, qui
sourient, comme des danseuses d'opéra, aux attributs qu'ils portent avec des
ronds de bras et des poses de commande. Sans doute ils s'occupent de leurs
attributs; il le faut bien, puisqu'ils doivent représenter, le premier
groupe, les trois arts de la peinture, de la sculpture et de l'architecture;
le deuxième, un concert; l'autre, l'hymen et l'amour; et le dernier, l'art
militaire; mais ils le font un peu en écoliers loin de l'œil du maître; ils
sont là, ceux du fond, assez graves et convaincus de leur importance; mais
les autres, les professeurs de l'école en rougiraient pour eux, les autres,
jambe de ci, jambe de là, pendantes sur le vide, par-dessus la corniche, se
tiennent comme de vrais espiègles qui, sans souci du danger, dont nous
tremblons pour eux, prennent leurs ébats sur le parapet des quais. Et
sont-elles assez heureuses, ces petites jambes rondes qui rompent, sans en
détruire la ligne, la monotonie de la corniche et donnent quelque agrément a
la sévérité des grandes surfaces murales.
Ah! c'étaient de grands maîtres que ces modestes artistes du siècle de Louis
XIV, qui faisaient des chefs-d'œuvre; et nous savons plus d'un glorieux de
nos jours qu'on voudrait renvoyer à leur école. Cet escalier s'arrête au
premier étage. A droite est l'appartement de la reine, à gauche celui du roi
Ces désignations leur viennent des hôtes qu'ils ont reçus à différentes
époques. Louis XIV d'abord, Louis XV, puis Louis XVI avec Marie-Antoinette,
rendirent visite au château de Maisons. L'appartement de la reine est fort
simple. Celui du roi est plus curieux, et se compose de deux pièces. On
entre d'abord dans la salle des gardes, longue et belle galerie éclairée par
six fenêtres; elle comporte une tribune au-dessus de l'entrée, et, à l'autre
extrémité, une grande arcade avec une balustrade qui ferme la partie où est
la cheminée. Elle était jadis tendue d'une tapisserie donnée à M. de
Longueil lorsqu'il était chancelier de la reine mère. Ce qu'est devenue
cette tapisserie et quand elle a été enlevée, nous ne pourrions le dire.
Avant M. Laffitte, elle avait été déjà remplacée par des glaces, et, dans la
restauration que ce propriétaire fit faire vers 1840 par M. Peyre, son
architecte, les glaces elles-mêmes cédèrent la place à des peintures de M.
Bidaut. Si les paysages de M. Bidaut n'attirent point l'attention, en
revanche, la balustrade qui règne au devant de la cheminée excite volontiers
la curiosité des visiteurs. Cette balustrade était un signe de distinction
et portait le nom de balustre. Le balustre, comme le dais, furent d'abord
réservés aux chambres royales. Les princesses, puis les duchesses,
l'adoptèrent, et, de proche en proche, toute la noblesse s'en mêla. Tous
gens de dais et de balustre, dit la Muse royale (janvier 1656) en parlant
d'une réunion de hauts personnages.
La galerie de Maisons, au double titre de chambre occupée par le roi et de
salle appartenant à une personne noble, justifiait de son droit au balustre.
La chambre qui suit, la chambre où couchait le roi, est, à cet étage, la
répétition du salon du rez-de-chaussée dont il a été question; elle
communique à une autre chambre, située sur l'aile droite de la cour et ornée
de cariatides dans une attique renfoncée au plafond; on entre, à côté, dans
un joli cabinet rond, parqueté et lambrissé de pièces de bois de rapport ou
marqueteries très travaillées. Le pourtour des murs est rehaussé de
pilastres ioniques entremêlés de glaces, et le plafond forme un dôme.
Maintenant il nous faut revenir au palier du grand escalier pour découvrir
le petit escalier qui conduit aux étages supérieurs. Ce second escalier,
ménagé dans l'épaisseur du mur, est dissimulé par une porte de placard. Il
n'est assurément ni large ni commode, mais il est digne des logements qu'il
dessert. Les combles, les vastes greniers et les toits du château sont
curieux; mais, ce qui l'est davantage, ce sont les caves. On en compte deux
étages au dessous des cuisines, qui prennent leur jour sur le fossé, et qui,
par conséquent, elles-mêmes, sont déjà au-dessous du niveau du sol; de telle
sorte qu'on peut avancer que la profondeur du château en terre est égale à
sa hauteur, à partir du rez-de-chaussée. Ce serait une vraie carrière à
extraire s'il fallait le démolir. Une pompe, avait été construite, en 1681,
sur le petit bras de la Seine, pour monter l'eau dans les jardins. Elle
était l'œuvre d'un certain Morelan, maître des machines de Charles III
(magister mechanicorum), que Louis XIV avait fait venir pour travailler à la
machine de Marly. De la Seine, le château se présente au sommet d'une vaste
pelouse en pente; un petit pont donne entrée à la propriété sur la grande
route, et, par une allée sablée de parc anglais, on arrive, en contournant
la pelouse, devant son élégante façade. Le coup d'œil est ravissant; il
n'est pas de voyageur traversant la Seine en chemin de fer dont il n'attire
le regard par la portière du waggon.
Autrefois, sans doute, il était plus grandiose, mais il n'était pas plus
gracieux; mieux que les abords de pierre, la verdure rehausse un monument.
Autrefois, le long du bâtiment régnait une magnifique terrasse d'où l'on
descendait dans un parterre terminé par la Seine. Au pied de la terrasse,
entre les rampes de l'escalier en forme de fer à cheval, s'écoulait une
cascade divisée en cinq macarons, qui formaient autant de nappes. De ce même
côté, quelques salles, ornées de figures de marbre, étaient plantées. Si
maintenant nous reconstruisons tout cela par la pensée et jetons un dernier
coup d'œil d'ensemble sur cette magnifique construction; si nous songeons
que les détails de l'ornementation, tant extérieure qu'intérieure, ont été
confiés aux maîtres d'alors; Gilles Guérin fit les quatre bas reliefs
représentant les quatre parties du monde qui sont dans le vestibule; toute
la sculpture de la cheminée de la grande salle d'en bas, et celle de la
cheminée de la galerie où l'on remarque de grandes figures de nymphes qui
portent sur leurs têtes des corbeilles de fleurs, accompagnées de plusieurs
enfants avec des festons et des cornes d'abondance; Jacques Sarrazin donna
les modèles des groupes d'enfants du vestibule, qui furent exécutés par
Buyster, qui sculpta aussi la porte d'entrée; et Gérard van Obstal fit
toutes les gracieuses sculptures de l'escalier; or ce van Obstal fut un des
douze anciens ou professeurs qui ont jeté les fondements de l'Académie
royale de peinture et de sculpture; Gilles Guérin fut conseiller professeur,
Jacques Sarrazin recteur, et Philippe Buyster sculpteur et professeur à la
même Académie royale. Si nous rappelons encore ce détail noté plus haut en
passant, que les deux portes du vestibule ont coûté quarante mille écus; et
si, tout ceci bien considéré, nous nous demandons à quelle somme a pu monter
la dépense d'un tel monument, nous répondrons qu'elle dut être énorme, sans
pouvoir malheureusement en donner le chiffre exact. Nos recherches, à cet
égard, quelque minutieuses qu'elles aient été, sont restées sans résultat.
Les architectes de nos jours estiment qu'à l'heure qu'il est la construction
du château de Maisons coûterait au moins douze millions. (1)
Éléments protégés MH : le château de Maisons Laffitte en totalité :
classement par journal officiel du 18 avril 1914. (2)
château de Maisons Laffitte 78600 Maisons-Laffitte, tél : 01 39 62
63 64, fax : 01 39 12 02 89, ouvert au public du lundi au vendredi de 10h à
12h et de 16h à 18h et le samedi de 9h à 12h.
Ce site recense tous les châteaux de France, si vous possédez des documents
concernant ce château (architecture, historique, photos) ou si vous
constatez une erreur, contactez nous. Licence photo©webmaster"B-E",
photos interdites à la publication sur internet, pour un autre usage
nous demander (Contact)
A voir sur cette page "châteaux
des Yvelines" tous les châteaux répertoriés à ce jour
dans ce département. |
|